Arguments du NON

      • Voici une bibliothèque organisée de plus d’un millier d’articles évalués par des pairs qui montrent que les « vaccins » Covid-19 sont nocifs.  https://drtrozzi.org/2023/09/28/1000-peer-reviewed-articles-on-vaccine-injuries/
      • « Stratégies pour réduire les risques de toxicité des médicaments à ARNm et des vaccins » « …éviter une toxicité inacceptable avec les médicaments à ARNm et les vaccins présente des https://drtrozzi.org/2023/09/28/1000-peer-reviewed-articles-on-vaccine-injuries/défis. Les composants structuraux des nanoparticules lipidiques, les méthodes de production, la voie d’administration et les protéines produites à partir d’ARNm complexés posent tous des problèmes de toxicité… »  sur nature  https://www.nature.com/articles/s41573-023-00859-3
      • Etude « Toxicité de la protéine de pointe du SARS-CoV-2 provenant du virus et produite à partir de l’ARNm de COVID-19 ou de vaccins adénoviraux à ADN. » sur fortune
      • On sent que les auteurs s’obligent à rédiger comme tel pour pouvoir être publiés…. « Malgré leur succès incontestable dans la réduction des hospitalisations et de la mortalité associées au COVID-19, divers effets indésirables ont été signalés ». MAIS « L’émergence d’un lymphome malin est l’un de ces rares effets indésirables qui a suscité des inquiétudes, bien que la compréhension des mécanismes potentiellement impliqués reste insuffisante. Nous présentons ici le premier cas de lymphome lymphoblastique à cellules B consécutif à une vaccination intraveineuse à haute dose par l’ARNm COVID-19 (BNT162b2) chez une souris BALB/c. Deux jours après la vaccination de rappel (c’est-à-dire 16 jours après la primo-vaccination), à l’âge de 14 semaines seulement, notre animal est mort spontanément avec une organomégalie marquée et une infiltration maligne diffuse de plusieurs organes extranodaux (cœur, poumon, foie, rein, rate) par un néoplasme lymphoïde. L’examen immunohistochimique a révélé des coupes d’organes positives pour le CD19, la désoxynucléotidyl transférase terminale et le c-MYC, compatibles avec un immunophénotype de lymphome lymphoblastique à cellules B. Notre cas murin vient s’ajouter aux précédents rapports cliniques sur l’apparition d’un lymphome malin à la suite d’une nouvelle vaccination par l’ARNm COVID-19, bien qu’il soit difficile de démontrer une causalité directe. Une vigilance accrue s’impose, avec la notification consciencieuse de cas similaires et une étude plus approfondie des mécanismes d’action expliquant l’association susmentionnée ». https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10183601/

        Pfizer’s Documents https://phmpt.org/pfizer-16-plus-documents/

          Suède « Sur 6 205 459 personnes, 272 043 (7,5 %) ont été enregistrées comme infectées, 3 399 (0,05 %) ont eu besoin de soins intensifs et 620 (0,01 %) sont décédées, soit un taux de létalité estimé à 0,06 %. » – La mortalité en Suède du covid chez les personnes de 15/45 ans est de 1/10000 sujets infectés au cours d’une épidémie qui a touché 10% de la population, soit 1 mort/100.000 habitants. Aucun vaccin ne peut montrer un avantage sur une si faible mortalité. — Didier Raoult Mars 7, 2023  étude Suède : « COVID-19 in people aged 18–64 in Sweden in the first year of the pandemic: Key factors for severe disease and death. »  

        Illumina CEO Explains How Pfizer & Moderna Created Their COVID Vaccines Without The Live Virus “What’s interesting is Moderna has never had the live virus in their site. It was all a software problem.”Lors d’une réunion du WEF Le PDG d’Illumina explique comment Pfizer et Moderna ont créé leurs vaccins COVID sans le virus vivant « Ce qui est intéressant, c’est que Moderna n’a jamais eu le virus vivant sur son site. Tout n’était qu’un problème logiciel. ici

        Au sujet sujet des masques chirurgicaux et N95/FP2 étude sur Cochrane. Maques chirurgicaux : le port d’un masque peut faire peu ou pas de différence dans le nombre de personnes ayant contracté une maladie de type grippe/COVID (9 études ; 276 917 personnes) ; Masques respiratoires N95/P2 le port d’appareils respiratoires N95/P2 ne fait probablement que peu ou pas de différence dans le nombre de personnes ayant une grippe confirmée (5 études ; 8407 personnes) ; et peut faire peu ou pas de différence dans le nombre de personnes attrapant une maladie de type grippal (5 études ; 8407 personnes), ou une maladie respiratoire (3 études ; 7799 personnes). https://www.cochrane.org/CD006207/ARI_do-physical-measures-such-hand-washing-or-wearing-masks-stop-or-slow-down-spread-respiratory-viruses

        Lors de la conférence WEF, le représentant de m ode rna a déclaré en clair : « Sans avoir un échantillon du virus sous la main, nous avons pris la séquence génétique publiée par la Chine et développé un vaccin basé sur des simulations informatiques ».

        Médecin pathologiste Burkhardt : « Nous avons trouvé des changements vasculaires dans pratiquement tous les cerveaux » sur report24news

        Etude du 22/12/2022 « Peu de temps après les deux doses initiales du vaccin à ARNm, la réponse IgG est principalement constituée des sous-classes pro-inflammatoires IgG1 et IgG3. Nous rapportons ici que plusieurs mois après la deuxième vaccination, les anticorps spécifiques du SRAS-CoV-2 étaient de plus en plus composés d’IgG4 non inflammatoires, qui ont été renforcés par une troisième vaccination à l’ARNm et/ou des infections percées de la variante du SRAS-CoV-2. Les anticorps IgG4 parmi tous les anticorps IgG spécifiques des pics sont passés en moyenne de 0,04 % peu après la deuxième vaccination à 19,27 % tard après la troisième vaccination. Cette induction d’anticorps IgG4 n’a pas été observée après une vaccination homologue ou hétérologue contre le SRAS-CoV-2 avec des vecteurs adénoviraux. Sur science.org  

        14/12/22″ Judicial Watch : les dossiers de la FDA montrent un nombre important de rats de test d’ARNm nés avec des déformations du squelette » « Le « Résumé » de 699 pages indique :

        Aucune étude d’absorption avec l’ARNm-1273 [utilisé dans le vaccin COVID de Moderna] n’a été réalisée. Aucune étude de métabolisme avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée. Aucune étude d’excrétion avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée. Aucune étude PK [pharmacocinétique] avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée. Aucune autre étude pharmacocinétique avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée. article ici   – Pr. Miyazawa, virologue (Kyoto Japon) Les autorités japonaises interdisent aux scientifiques de faire des études sur la composition et la sécurité des vaccins sous peine de prison. Il y a eu signature d’une clause de confidentialité interdisant d’analyser les composants des injections covid. (Lors du symposium de la résilience de l’Université de Kyoto samedi 26 novembre 2022).   – « Depuis le début du COVID-19, nous pouvons énumérer les méthodes de manipulation de l’information suivantes qui ont été utilisées : essais cliniques falsifiés et données inaccessibles ; études truquées ou en conflit d’intérêts ; dissimulation des effets secondaires à court terme des vaccins et méconnaissance totale des effets à long terme de la vaccination au COVID-19 ; composition douteuse des vaccins ; méthodes de test inadéquates ; gouvernements et organisations internationales en conflit d’intérêts ; des médecins soudoyés ; le dénigrement de scientifiques de renom ; l’interdiction de tout traitement alternatif efficace ; des méthodes sociales non scientifiques et liberticides ; l’utilisation par les gouvernements de techniques de modification du comportement et d’ingénierie sociale pour imposer l’enfermement, les masques et l’acceptation des vaccins ; la censure scientifique des médias ». »En  soutenant et en sélectionnant uniquement un côté de l’information scientifique tout en supprimant les points de vue alternatifs, et avec des conflits d’intérêts évidents révélés par cette étude, les gouvernements et les médias désinforment constamment le public. En conséquence, les lois sur la vaccination validées de manière non scientifique, issues de la science médicale contrôlée par l’industrie, ont conduit à l’adoption de mesures sociales pour la protection supposée du public mais qui sont devenues de graves menaces pour la santé et les libertés de la population. »La période COVID-19 met en lumière un énorme problème qui se développe depuis des décennies, le contrôle de la science par l’industrie. Dans les années 50, l’industrie du tabac a donné l’exemple, que l’industrie pharmaceutique a suivi. Depuis, cette dernière est régulièrement condamnée pour marketing illégal, présentation erronée de résultats expérimentaux, dissimulation d’informations sur les dangers des médicaments, et considérée comme criminelle. Cette étude a donc été menée pour montrer que les connaissances sont puissamment manipulées par des entreprises nuisibles, dont les objectifs sont : 1/financiers ; 2/supprimer notre capacité à faire des choix pour acquérir un contrôle global de la santé publique ».  https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9610448/

        « En résumé, nous avons donc :

        – Des morts remontés par pharmacovigilance suite aux vaccinations, en France, en Europe et aux États-Unis – Des analystes qui s’alarment de la hausse de nombre de morts “hors Covid” depuis le début de la “pandémie” – Des hausses de mortalité anormales partout en Europe, pour toutes les tranches d’âge exactement au moment des campagnes vaccinales – Trop de morts chez les plus âgés depuis octobre 2020 – Trop de morts chez les jeunes depuis l’été 2021 Au vu de tous ces éléments, nous ne parvenons toujours pas à alerter les autorités sur ce qui se passe. Voilà pourquoi il est crucial pour nous d’obtenir le statut vaccinal de tous les morts et de toutes les hospitalisations en France depuis début 2021. L’élément que nous devons rajouter à cet ensemble c’est bien sûr de savoir si ces hausses de mortalité concernent exclusivement les personnes vaccinées, non vaccinées, ou les deux. Au vu du refus des autorités d’accéder à notre demande, nous en avons déjà une idée assez claire. » sur Francesoir  
      • À la lumière de l’émergence de variantes préoccupantes (VOC) du SRAS-CoV-2, des vaccins bivalents COVID-19 combinant l’ARNm de pointe de type sauvage avec un ARNm de pointe Omicron VOC BA.1 ou BA.4-5 sont devenus disponibles. Cette étude contrôlée non randomisée a examiné les effets indésirables, la prise de médicaments PRN (pro re nata) et l’incapacité de travailler après une quatrième vaccination COVID-19 chez 76 travailleurs de la santé. Comme quatrième dose, on a administré soit le vaccin original monovalent BNT162b2mRNA (48,7%), soit le vaccin bivalent BNT162b2mRNA original/Omicron BA.4-5 (51,3%). Le taux d’effets indésirables pour la seconde dose de rappel était significativement plus élevé chez les participants recevant le vaccin bivalent 84,6% (IC 95% 70,3%-92,8% ; 33/39) par rapport au vaccin monovalent 51,4% (IC 95% 35,9-66,6% ; 19/37) (p=0,0028). On a également observé une tendance à l’augmentation du taux d’incapacité de travail et de prise de médicaments PRN après la vaccination bivalente. Compte tenu des résultats non concluants des niveaux d’anticorps neutralisants entre les vaccins comparés, nos résultats et d’autres études sur la sécurité et la réactogénicité des vaccins de rappel bivalents COVID-19 sont très importants pour aider la prise de décision clinique dans le choix entre les vaccinations bivalentes et monovalentes ». étude en pré-print sur medrxiv

        • Des vaccins contre les effets secondaires des injections et ainsi de suite… « Près de deux ans après l’approbation conditionnelle, Pfizer et Moderna lancent des essais cliniques pour enquêter sur les problèmes de santé indésirables associés au vaccin COVID-19, tels que : B. Myocardite – une inflammation du muscle cardiaque. Et seulement après que des milliards de personnes ont été vaccinées, la plupart du temps plusieurs fois. C’est comme le fermier qui ferme la porte de la grange après que la vache se soit échappée ». site autrichien tkp.at

          • Le scientisme est un mouvement philosophique qui considère la connaissance scientifique comme la connaissance absolue. Son principe est que la science satisfait tous les besoins de l’intelligence humaine. Son espoir est que les progrès de la science supprimeront toute la part d’inconnu dans le monde et dans l’homme. C’est une position apparue au 19ème siècle selon laquelle la science expérimentale est la seule source fiable de savoir sur le monde, par opposition aux révélations religieuses, aux superstitions, aux traditions, et aux coutumes, également à toute autre forme de savoir. Le scientisme se propose en conséquence, selon la formule d’Ernest Renan, d’« organiser scientifiquement l’humanité ». Il s’agit d’une confiance ou d’un pari ou d’une espérance. Le terme de foi ne s’applique pas, en principe, dans ce domaine (mais aucune références à ce sujet), dans l’application des principes et méthodes de la science y compris moderne dans tous les domaines.

            • Encore une étude qui montre une efficacité négative « Résultats Pour les doses 1 et 2 de ChAdOx1 et la dose 1 de BNT162b2, VE/rVE a atteint zéro aux jours 60 à 80 environ, puis est devenu négatif. Au jour 70, VE/rVE était de -25 % (IC à 95 % : -80 à 14) et de 10 % (IC à 95 % : -32 à 39) pour les doses 1 et 2 de ChAdOx1, respectivement, et de 42 % (IC à 95 % : IC : 9 à 64) et 53 % (IC à 95 % : 26 à 70) pour les doses 1 et 2 de BNT162b2, respectivement. rVE pour la dose 2 de BNT162b2 est resté au-dessus de zéro tout au long et a atteint 46 % (IC à 95 % : 13 à 67) après 98 jours de suivi« . sur oxfordacademic (nternational Journal of Epidemiology, dyac199, 22 October 2022).

              • Pas de traitements ? voici une synthèse des médicaments donnés et les résultats en %tage « Traitement précoce du COVID-19 : analyse en temps réel de 2 247 études » https://c19early.org/

                • Le 28 décembre 2021, aux États-Unis, l’organisation non gouvernementale (ICAN) avait annoncé son action de poursuivre les Centers for Disease and Prevention accusés de cacher les données récoltées par V-Safe, application pour suivre les effets suite à la vaccination au Covid-19. Le 8 septembre 2022, le tribunal fédéral du Texas a donné au CDC jusqu’au 30 septembre, pour publier les données enregistrées après leurs vaccinations et collectées via l’application V-Safe. Le 3 octobre 2022, la déclassification des données (https://www.icandecide.org/v-safe-data/) a révélé que plusieurs centaines de milliers de personnes avaient cherché à se faire soigner après avoir reçu une injection covid-19.

                  • Alors que certains groupes continuent de faire pression pour que les gens reçoivent de plus en plus d’injections de gènes d’ARNm, l’autorité sanitaire finlandaise ne voit aucun intérêt à le faire. Au contraire : un rappel tous les quatre mois affaiblirait la réponse immunitaire des vaccinés, selon le médecin-chef de l’autorité. Selon Nohynek, une vaccination continue et fréquente avec le même vaccin peut affaiblir la réponse immunitaire.

                    • Anticorps non mesurés 2 mois après la dose 2 dans l’essai clinique pfizer. Si on avait observé la chute des anticorps, on ne pouvait plus maintenir le discours « 2 doses et vie normale ».

                      • L’agence Européenne du médicament (EMA) ajoute les règles hémorragiques à la liste des effets secondaires de la vaccination Covid. Moderna reconnaît le problème. Pfizer et BioNtech ne répondent pas. Dysménorrhée, douleurs, perte de qualité de vie. Et aucune certitude sur la fertilité……. reuters

                        • « 160 études, 53 maladies graves : la liste des dommages prouvés de la « vaccination » COVID-19 s’allonge » sciencefiles.org

                          • « Selon le tableau de bord des âges, le risque de décès dans les tranches d’âge jusqu’à 54 ans est de 0 pour cent infecté (chez les hommes entre 45 et 54 ans 0,1 pour cent infecté), c’est-à-dire statistiquement pratiquement négligeable. Les trois quarts des décès dus au COVID-19 ont plus de 75 ans, l’âge moyen des personnes décédées est de 81 ans. Pour le dire franchement, le COVID-19 est une maladie qui tue principalement les hommes âgés et malades ». sur WB (Autriche)

                            • Etude : « Une cohorte auto-sélectionnée de COVID-19 « non vaccinés » rapporte des résultats de santé favorables et une discrimination injustifiée dans une enquête mondiale » Les données auto-déclarées collectées indépendamment par la Control Group Cooperative basée au Royaume-Uni entre septembre 2021 et février 2022, inclus, auprès d’une population internationale COVID-19 « non vaccinée » auto-sélectionnée sont discutées. Les données proviennent d’une cohorte de 18 497 participants qui ont fourni des réponses mensuelles au questionnaire. Les plus grands nombres viennent d’Europe, d’Amérique du Nord et d’Australie. Les données étaient biaisées vers la tranche d’âge de 40 à 69 ans et incluaient 60 % de femmes interrogées. Les raisons d’éviter les « vaccins » COVID-19 étaient : une préférence pour la médecine naturelle, la méfiance à l’égard de l’industrie pharmaceutique, la méfiance à l’égard des informations gouvernementales, des données d’essai médiocres/limitées et la peur des effets indésirables à long terme. Au cours de la période d’enquête, la plus grande incidence de la maladie COVID-19 a été signalée dans la tranche des 50 à 69 ans, culminant à 12,3 %, en janvier 2022. Les personnes de 70 ans et plus étaient les moins touchées (1,3 %), avec 10,7 % et 3,8 % dans la tranche 20 à 49 ans et dans le groupe 1 à 19 ans, respectivement. La plupart ont qualifié leurs symptômes de «légers» (14,4%), 2% signalant une maladie «grave». La fatigue, la toux, les douleurs musculaires/corporelles et la fièvre étaient les quatre plus courantes. Seuls 0,4 % de la cohorte ont signalé une hospitalisation (en tant que patients hospitalisés ou ambulatoires). Près des deux tiers ont déclaré prendre de la vitamine D, C, du zinc, de la quercétine ou une combinaison, à titre préventif, 71 % utilisant de la vitamine D, C et du zinc pour le traitement. Près de 45 % ont signalé des problèmes de santé mentale « modérés » à « graves » (dépression) au cours de la période d’enquête. Des anomalies menstruelles ont été signalées par 36 % des femmes dans la tranche d’âge 20-49 ans. Les pertes d’emplois signalées étaient les plus importantes en Australie et en Nouvelle-Zélande avec 29 %, suivies de 13 % en Amérique du Nord. Entre 20 % et 50 % ont déclaré être des cibles personnelles de haine en raison de leur statut vaccinal. Entre 57 % et 61 % des personnes interrogées en Europe du Sud et en Europe de l’Ouest, en Australie/Nouvelle-Zélande et en Amérique du Sud, ont déclaré être la cible de victimisation gouvernementale. La cohorte peut ne pas être représentative de populations plus larges étant donné sa dépendance aux soins personnels. Les résultats suggèrent que le fait de se retirer de la plus grande expérience médicale au monde, reposant sur l’immunité naturelle, les soins personnels avec des suppléments et/ou l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine, semble contribuer à une faible incidence de maladies graves, d’hospitalisations ou de décès. Les résultats impliquent le besoin urgent d’études prospectives sur les personnes « non vaccinées », « partiellement vaccinées » et « entièrement vaccinées » enquêtant sur les résultats à long terme, les comportements, les choix et les réponses discriminatoires de l’État, des institutions ou des employeurs sur la base de la « vaccination ».  » statut. Un dialogue public sur la « sécurité et l’efficacité » vantées des vaccins, par opposition aux stratégies visant à renforcer la résilience immunitaire, le tout dans le contexte de l’autoritarisme par rapport à l’autonomie, aux soins personnels, à la responsabilité personnelle et à la liberté de choix est nécessaire ». sur internationjournalofvaccinetheory

                              • de Pamela « au delà de la traîtrise on est arrivé à l’insulte envers l’intelligence des gens. » c’est ça ! et avec l’utilisation de techniques militaires de manipulations psychologiques.

                                • Elle y est peut-être déjà mais on remet, car il faut répéter et répéter et répéter ! Les vaccins à ARNm favorisent la synthèse soutenue de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2. • La protéine de pointe est neurotoxique et altère les mécanismes de réparation de l’ADN. • La suppression des réponses à l’interféron de type I entraîne une altération de l’immunité innée. • Les vaccins à ARNm entraînent potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer. • L’optimisation des codons donne un ARNm riche en G qui a des effets complexes imprévisibles. étude publiée en juin 2022 sur sciencedirect et un article sur temoignages

                                  • « Détection des vaccins COVID-19 à ARN messager dans le lait maternel humain » étude sur jama publiée le 26/09/2022 « Sur 11 personnes allaitantes inscrites, des traces de vaccins à ARNm BNT162b2 et ARNm-1273 COVID-19 ont été détectées dans 7 échantillons de 5 participants différents à divers moments jusqu’à 45 heures après la vaccination. » Ce qui est important à retenir c’est que cet ARNm synthétique circule dans le corps alors qu’il avait été annoncé que non, cela n’était pas possible !

                                    • Suivi des cas d’effets indésirables déclarés au 8/09. ansm

                                      • « Vaccins » ARNm bivalent original/omicron et vaccin grippe, des essais cliniques terminés ? ou le cobaye, c’est toi ? On cherche où sont-ils : le pfizer c’est BA.1 moderna: Spikevax Bivalent Original/Omicron BA.1. Il y a un essai BioNtech ici en phase 2 : no results posted fin du test estimé septembre 2023. Bon le cobaye, c’est toi ! idem moderna phase 2, tests sur 150 personnes (les courageux !) fin du test estimé juin 2023. ici et un test sur des bébés (quels parents offrent leurs bébés à la « science, tech », d’où viennent les enfants, orphelinats ?) ? ici fin des « essais » le 31 octobre 2023…

                                        • Un argument simple : On ne peut pas donner un consentement libre et éclairé sur des produits dont les essais cliniques ne sont pas achevés car on ne connait pas toutes les conséquences, ni quand toutes les données ne sont pas accessibles et transparentes, d’autant plus quand on se rend compte qu’il y a énormément d’informations filtrées. Concernant l’intérêt collectif, concernant l’intérêt national, il n’est pas judicieux, afin de garder des personnes aptes au travail, d’injecter tout le monde, s’il existe par méconnaissance et excès de confiance dans des produits expérimentaux, la possibilité de survenue d’un nombre important d’effets délétères.

                                          • « La survenue de maladies auto-immunes, aussi bien après des épisodes infectieux qu’après l’administration de vaccins, est un événement connu. Depuis l’introduction des vaccins Sars-COV-2, plusieurs cas de dermatoses bulleuses auto-immunes d’apparition récente ont été publiés… Le mécanisme exact par lequel ce vaccin peut déclencher le pemphigus vulgarisis n’est pas bien compris ». John B. Phd. exemple de publication onlinelibrary

                                            • étude preprint : « Des centaines de millions de doses de vaccin SARS-CoV-2 mRNA-LNP ont déjà été administrées à l’homme. Cependant, nous manquons d’une compréhension globale des effets immunitaires de cette plateforme. Le vaccin SARS-CoV-2 à base d’ARNm-LNP est hautement inflammatoire et son composant lipidique ionisable synthétique, responsable de l’induction de l’inflammation a une longue demi-vie in vivo. Étant donné que l’inflammation chronique peut entraîner un épuisement immunitaire et une non-réactivité, nous avons cherché à déterminer les effets de la pré-exposition à l’ARNm-LNP sur les réponses immunitaires adaptatives et la forme immunitaire innée. Nous avons constaté que la pré-exposition aux ARNm-LNP ou aux LNP seuls entraînait une inhibition à long terme des réponses immunitaires adaptatives, qui pouvait être bouleversée à l’aide d’adjuvants standard. D’autre part, nous rapportons qu’après une pré-exposition aux ARNm-LNP, la résistance des souris aux infections hétérologues par le virus de la grippe a augmenté tandis que Candida albicans a diminué. La diminution de la résistance à Candida albicans était corrélée à une diminution générale des pourcentages de neutrophiles sanguins. Fait intéressant, les souris pré-exposées à la plate-forme ARNm-LNP peuvent transmettre les traits immunitaires acquis à leur progéniture, offrant ainsi une meilleure protection contre la grippe. En résumé, la plateforme vaccinale ARNm-LNP induit des changements immunologiques inattendus à long terme affectant à la fois les réponses immunitaires adaptatives et la protection hétérologue contre les infections. Ainsi, nos études soulignent la nécessité de poursuivre les recherches pour déterminer le véritable impact de cette plateforme sur la santé humaine. Résumé des auteurs : Nous apportons des preuves expérimentales que la pré-exposition aux ARNm-LNP ou à sa composante LNP affecte les réponses immunitaires innées et adaptatives…Nous avons également détecté une neutropénie générale chez les souris exposées à l’ARNm-LNP. Fait intéressant, les souris pré-exposées aux ARNm-LNP peuvent transmettre les traits immunitaires acquis à leur progéniture. En résumé, la plateforme vaccinale ARNm-LNP induit des changements immunologiques à long terme qui peuvent affecter à la fois les réponses immunitaires adaptatives et la protection hétérologue contre les infections, dont certaines peuvent être héritées par la progéniture. D’autres études sont nécessaires pour comprendre les mécanismes responsables de ces effets et déterminer l’impact de cette plateforme sur la santé humaine. sur bioRxiv

                                            • neutropénie : trouble hématologique qui se caractérise par un taux anormalement faible dans le sang d’un type de globules blancs, les granulocytes neutrophiles « Les symptômes de la neutropénie sont les multiples infections bactériennes et fongiques opportunistes qui affectent le malade. Le risque d’infection augmente avec la sévérité et la durée de la neutropénie. Elle se développent préférentiellement sur la peau et les muqueuses, la région ORL et les poumons. Les staphylocoques, streptocoques, entérocoques, pneumocoques et Pseudomonas aeruginosa sont les agents les plus fréquents d’infection. Les signes les plus communs d’une neutropénie sont : fièvre, frissons, maux de gorge, aphtes dans la bouche, saignement des gencives, troubles dentaires, douleurs abdominales, diarrhées, lésions autour de l’anus, douleurs lors de la miction, toux »…

                                              • Le lien juridique de causalité pour les produits injectables dénommés vaccins est quasi impossible à prouver selon la procédure, méthode mise en place. Protocole du challenge, dechallenge, rechallenge (ici), produit administré, retiré, puis réadministré. Il faudrait retirer le produit pour prouver qu’il est la cause d’effets indésirables. Pour un produit injectable qui pourrait produire des changements dans le système immunitaire, ce n’est pas possible de revenir à la situation antérieure. Il y a un biais majeur. Ceci explique la narration du « il n’y a pas de décès ». Concernant les produits du moment, les décès survenus dans les 15 jours après les injections n’ont pas été pris en compte lors des essais préliminaires. Par ailleurs le groupe témoin a été injecté avec des vaccins contre la méningite (connu pour donner des effets indésirables) puis ensuite avec le produit à ARNm, pas par placébo, de plus ce n’était pas en double aveugle. Les personnes injectées avec l’autre vaccin ont fait plus de tests car il leur a été dit qu’ils n’étaient pas protégés, ce qui a conduit à plus de tests positifs covid que ceux ayant reçus les produits à ARNm qui se faisaient moins tester. Les calculs d’efficacité ont été basés sur ces tests. vidéo sourcée sur la méthode ici.

                                                • « vaccins COVID-19 à ARNm de Pfizer et Moderna » risque excessif d’événements indésirables graves d’intérêt particulier. » étude du 31/08 sur sciencedirect

                                                  • Thromboses : « Actuellement, les deux thrombolytiques les plus utilisés à l’hôpital, Actilyse (altéplase) et Therasolv (urokinase), sont en tension d’approvisionnement au niveau mondial. Les fabricants expliquent ces tensions par une augmentation constante du nombre de patients éligibles aux thrombolytiques et une capacité de production limitée par la complexité du procédé de fabrication de ces médicaments biologiques. Pour les mêmes raisons, les alternatives que sont Actosolv (urokinase) et Metalyse (tenecteplase) ne sont pas disponibles« . ansm

                                                    • La grippe A – H1N1 – l’hameçon n’avait pas pris en 2009, vidéo TF1 ici Depuis les médias de masse ont été achetés, les techniques psychologiques qui fabriquent le consentement améliorées, les « young leader » sont arrivés au pouvoir politique, la puissance financière de l’industrie chimique génique s’est renforcée …

                                                      • On devrait pouvoir parler librement et calmement de cette nouvelle technologie utilisée dans les injections. Il est anormal qu’il y ait autant de bâtons dans les roues et de stigmatisations et que la gestion soit sous secret défense. Il y a un risque de repliage des protéines des nanoparticules. Le but n’est pas d’affoler ceux qui ont reçu ces produits, le but c’est d’être réaliste, hors pression. A terme de toute façon les éléments sortiront. Les bras nous en tombent à force…

                                                        • Paul-Ehrlich-Institut refuse de fournir des informations sur les ingrédients du vaccin. Ici

                                                          • Utilisation des substances ALC-0159 (product has not been fully validated for medical applications. For research use only) et ALC-0315 dans les produits à ARNm. document EMA (European medecines agency) (Rapport d’évaluation tel qu’adopté par le CHMP avec toutes les informations à caractère commercial confidentiel supprimé) page 48 « Toxicologie : Le dossier toxicologique du BNT162b2 est basé sur un total de trois essais toxicologiques pivots études; deux études de toxicité à doses répétées chez le rat et une étude DART sur la fertilité-EFD chez le rat. La substance d’essai dans les études de toxicité à doses répétées est BNT162b2… qui consiste en un ARN modifié dans une formulation de nanoparticules lipidiques (LNP). Les différences entre les variantes sont dues à optimisation des codons. La LNP contient quatre excipients dont deux sont considérés comme nouveaux (ALC-0315 et ALC-0159). page 50 Génotoxicité Genotoxicity « Aucune étude de génotoxicité n’a été fournie. Ceci est acceptable car les composants du vaccin formulation sont des lipides et de l’ARN qui ne devraient pas avoir de potentiel génotoxique. Le nouvel excipient ALC-0159 contient une fraction acétamide potentielle (ajout : warning suspected of causing cancer). Évaluation des risques réalisée par le demandeur indique que le risque de génotoxicité lié à cet excipient est très faible d’après la littérature données où la génotoxicité de l’acétamide est associée à des doses élevées et à une administration chronique (≥1000 mg/kg/jour). La quantité d’excipient ALC-0159 dans le produit fini étant faible (50 μg/dose), sa clairance est élevée et seules deux administrations du produit sont recommandées pour l’homme, le risque de génotoxicité devrait (conditionnel) être très faible. »

                                                            • IMPORTANT 🔻Nouvelle étude sur Pubmed ici « Effets indésirables des vaccins COVID-19 et mesures pour les prévenir » « Récemment, The Lancet a publié une étude sur l’efficacité des vaccins COVID-19 et le déclin de l’immunité avec le temps. L’étude a montré que la fonction immunitaire chez les personnes vaccinées 8 mois après l’administration de deux doses de vaccin COVID-19 était inférieure à celle des personnes non vaccinées. Selon les recommandations de l’Agence européenne des médicaments, des injections de rappel COVID-19 fréquentes pourraient avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et pourraient ne pas être réalisables. La diminution de l’immunité peut être causée par plusieurs facteurs tels que la N1-méthylpseudouridine, la protéine de pointe, les nanoparticules lipidiques, l’amélioration dépendante des anticorps et le stimulus antigénique d’origine. Ces altérations cliniques peuvent expliquer l’association rapportée entre la vaccination COVID-19 et le zona. Par mesure de sécurité, les rappels ultérieurs doivent être interrompus. De plus, la date de vaccination doit être enregistrée dans le dossier médical des patients. Plusieurs mesures pratiques pour prévenir une diminution de l’immunité ont été rapportées. Celles-ci comprennent la limitation de l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris l’acétaminophène pour maintenir la température corporelle profonde, l’utilisation appropriée d’antibiotiques, l’arrêt du tabac, le contrôle du stress et la limitation de l’utilisation d’émulsions lipidiques, y compris le propofol, qui peut provoquer une immunosuppression périopératoire. En conclusion, la vaccination contre le COVID-19 est un facteur de risque majeur d’infections chez les patients gravement malades. » également sur Virology Journal

                                                              • étude juin 2022 « Suppression immunitaire innée par les vaccinations par ARNm du SRAS-CoV-2 : le rôle des G-quadruplexes, des exosomes et des microARN » Les vaccins à ARNm favorisent la synthèse soutenue de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2. La protéine de pointe est neurotoxique et altère les mécanismes de réparation de l’ADN. La suppression des réponses à l’interféron de type I entraîne une altération de l’immunité innée. Les vaccins à ARNm entraînent potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer. L’optimisation des codons donne un ARNm riche en G qui a des effets complexes imprévisibles ». sur sciencedirect

                                                                • Suivi des cas d’effets indésirables des vaccins COVID-19 Données du 24/05/2022 au 16/06/2022 Ansm.

                                                                • Nouvelle étude : C’est bien pour ça (entre autre) qu’il semble plus pertinent de ne pas se faire injecter la protéine de pointe spike, qui est la toxine principale. Pas la peine de prendre ce risque de faire entrer le loup dans la bergerie. « Les nanotubes tunnels fournissent une voie de propagation du SRAS-CoV-2 » ici.

                                                                  • Une étude en pré-print du 12 juillet, sur une cohorte de 50 personnes montre que des personnes injectées ont une infection latente similaire à celle de malades du covid avec la présence, plus de 4 semaines après l’injection de « cytokines pro-inflammatoires qui peuvent être entraînées par la persistance de la protéine SARS-CoV-2. » ici… Notre résumé, ce que la logique a soupçonné, dès le départ, c’est que d’injecter de l’ARNm de spike, qui soit disant ne devait pas se diffuser dans le corps, cela arrive qu’elle se diffuse et cela peut conduire à une infection chronique (peut-être ce qui est appelé « covid long »). Cette immunité de synthèse pourrait créer des désordres immunitaires. Dans la notice des produits il est indiqué qu’ils ne doivent pas être injectés dans des veines, est-ce que lors des injections, parfois, ça ne passerait pas dans des micro-vaisseaux, ce qui entrainerait une diffusion ? est-ce que la qualité de fabrication est fiable avec la même quantité d’ARNm synthétique dans chaque dose ? Que sont les cytokines pro-inflammatoires ? ici

                                                                Sur la narration, le discours et la gestion politique

                                                                    • Une narration, un récit, qui s’appuie sur la peur et la sidération (nous allons tous mourir, finir en service de réanimation sur le ventre, avec un tube au fond de la gorge) appuyé par des images chocs, engendrant une forme de panique généralisée et une forte anxiété.

                                                                    • Un enfermement sous peine d’amende, se rédiger à soi-même une autorisation de sortie pour aller à la boulangerie. Un comptage des morts journalier à la TV créant de l’anxiété généralisée et entretenant la peur, une population effrayée. Dans les faits, beaucoup de personnes décédées avec le covid mais pas du covid, dans l’immense majorité très âgées et/ou avec déjà des pathologies autres (comorbidités). Une interdiction de réaliser des autopsies.

                                                                    • de multiples injonctions paradoxales (un masque ne sert à rien, un masque est obligatoire même à l’extérieur) conduisant à la peur des autres, à des stigmatisations, la mise au banc d’experts auparavant reconnus.

                                                                    • Une culpabilisation basée sur le conformisme, en traitant d’individualistes ceux qui veulent protéger leur intégrité physique et ne pas être des objets d’expérimentation d’une technologie médicale nouvelle, avec la fabrication de produits injectables en un temps anormalement court. Un alibi de saturation des hôpitaux et des lits de réanimation pas crédible car il y a eu en parallèle des fermetures en continu de places et une non mobilisation des cliniques privées. Voir les 2 rapports de l’ATIH, en vidéo, la chaîne décoder l’éco.

                                                                    • De la publicité d’Etat payée par les contribuables pour la vente de médicaments expérimentaux en autorisation de mise sur le marché conditionnelle fabriqués à la hâte par des entreprises privées, s’apparentant à de la propagande par la répétition des messages ayant un impact psychologique, pour des produits médicaux relevant de la sphère personnelle et d’une décision personnelle, secret médical en matière de santé…

                                                                    • L’utilisation d’un langage spécifique, la création de nouveaux termes, des changements de sens de certains mots, par exemple l’usurpation du terme vaccin pour des produits qui ne sont pas composés de virus atténués, modification du terme pandémie, utilisation répétée de slogans frappant l’esprit. Changement de définition du mot « PANDÉMIE » Selon l’OMS Définition avant mai 2009 : « Propagation mondiale d’une nouvelle maladie avec un nombre énorme de morts et de malades » • Nouvelle définition au 24 février 2010 (et même depuis mai 2009, d’après le JT du 17 février 2010) : « Propagation mondiale d’une nouvelle maladie ».

                                                                    • Des décisions prises par un Conseil « scientifique » par un groupe restreint de personnes lors de réunions confidentielles, avec une urgence « sanitaire » outrepassant toutes les règles juridiques, sous couvert du secret défense. L’emploi d’un cabinet de conseils Mc Kinsey utilisé par plusieurs pays avec des décisions similaires qu’en France, l’OMS poussant à mettre en place des mesures contraignantes pour une gouvernance mondiale en cas de « pandémies » terme qui a été grandement redéfini, la grippe pourrait être défini, si besoin de pandémie.

                                                                    • Un très fort ressenti pour certains, du déroulé d’un plan, d’une story-telling. Il ne s’agit pas de « complotisme » mais de l’assemblage d’un puzzle composé de maintes éléments éparses à assembler, par exemple une réunion avec des acteurs privés préparant une pandémie avec un virus qui se répand dans le monde entier Event 201.

                                                                    • Un nombre de non injectés géniques fortement minoré afin que ceux qui refusent se sentent faibles, isolés et marginaux.

                                                                    • Pour la 1ère fois depuis les années 40, la mise en place de laisser-passer discriminants créant 2 types de citoyens, basés sur des critères de santé. Le but avoué est de forcer aux injections qui demandent pourtant un consentement libre et éclairé (code de la santé publique). Ces laisser-passer violent manifestement la Constitution, les droits fondamentaux, le code de Nuremberg, la convention internationale d’Oviedo signée par la France. De multiples conflits ou liens d’intérêt aussi bien au Conseil Constitutionnel (fils de Laurent Fabius employé au sein du cabinet Mc Kinsey qui conseille le gouvernement sur la stratégie vaccinale et le narratif). Des liens d’intérêts de nombreux personnels de santé, les plus médiatisés, avec l’industrie pharmaceutique.

                                                                    • La « vaccination », l’injection de produits géniques présentés comme solution unique, avec une « légalisation » du chantage, d’insultes, de propos méprisants, faire passer ceux qui refusent d’abrutis, de sous-éduqués et sous diplômés, racistes, d’extrême droite, antisémites etc, c’est du jamais vu !

                                                                    • 🔻La découverte de documents cachés sur un serveur secret défense de la DARPA qui confirment les doutes sur l’origine du sars-cov2, une création de laboratoire génétiquement modifiée (gain de fonction) et des révélations sur la connaissance des traitements à appliquer (Ivermectine, Hydroxychloroquine..). Une enquête en cours depuis des mois par des sénateurs aux USA qui sont confrontés à de nombreux freins. 🔺

                                                                  Sur les produits géniques

                                                                      • Il s’agit de produits utilisant de l’ARN messager de la protéine de pointe du virus (spike) appelé sars-cov 2. Cette technologie n’a jamais été utilisée auparavant à titre préventif, à grande échelle. Ils sont en essais cliniques non achevés. Ce qui veut dire que les effets secondaires ne sont pas tous connus. La génotoxicité, la cancérogénicité, la possibilité de maladies auto-immunes etc, n’ont pas été évalués. Pour cela il est obligatoire d’avoir un recul de 5 à 10 ans. De plus il y a de forts doutes sur la qualité de fabrication et la qualité des produits pour en fabriquer autant en si peu de temps (des témoignages de septicémies et d’infections par staphylocoques, non expliquées après injections). Concernant la réputation des marques, l’entreprise Pfizer a été condamnée à maintes reprises (corruption, charlatanisme, tromperie, trafic d’influence…). Moderna est une nouvelle entreprise n’ayant jamais fabriquée de vaccins auparavant.

                                                                      • Des brevets grisés (caviardés tels des documents secret défense), des phases d’essais cliniques avec des éléments caviardés, l’Union européenne qui se charge des achats des produits avec un contrat opaque*, des clauses d’achat sans annulation, sans responsabilité, aucune transparence sur la composition des produits (22% d’ingrédients cachés sous couvert de secret de fabrication, forte présomption de présence d’oxyde de graphène comme « véhicule porteur » de l’ARN messager, car un produit chinois similaire en indique dans un brevet (produit non injecté en masse sur la population chinoise qui a choisi un vaccin à virus atténué).

                                                                      • Des malversations lors des essais cliniques via un sous traitant Ventavia ont été constatées, des essais sur des enfants ont été pratiqués dans des orphelinats en Pologne afin d’éviter de dédommager les parents, les contrats d’achat des produits dégagent toute la responsabilité des fabricants et font peser la charge des indemnisations des effets secondaires et des décès, sur les contribuables. L’Etat devra payer les dégâts, il n’a aucun intérêt à démontrer qu’il y a un lien de causalité entre les séquelles, les blessures et les injections. Très important, la génotoxicité et les conséquences en matière de cancers, n’ont été évaluées.

                                                                      • ⚠️ Une forte probabilité de l’émergence d’un grave problème concernant l’immunité adaptative, liée au fonctionnent de la protéine de pointe qui peut entrer dans le noyau des cellules et engendrer une immodéficience. Voir cette étude https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8538446/ 🔻 « Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine de pointe pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vaccins à base de protéines de pointes. » D’autres études sont en cours. Il est urgent d’attendre les conclusions avant de se faire injecter des doses de rappel, le risque est réel !!!

                                                                      • ⚠️ Nouvelle étude qui renforce les alertes des médecins et scientifiques qui depuis des mois préviennent que ces vaccins à ARNm n’ont pas subi de tests d’innocuité adéquats. Elle confirme : que les vaccins Pfizer produisent des réponses d’anticorps contre la spike à des concentrations aussi élevées que celles des patients COVID-19 gravement malades ; que la production de protéines Spike chez les personnes vaccinées avec le vaccin Moderna ou Pfizer est supérieure à celle des patients COVID-19 gravement malades ; que la protéine Spike produite par les vaccins persistent pendant au moins 60 jours dans les centres germinatifs des ganglions lymphatiques ; que l’ARNm vaccinal persistent pendant des semaines dans les centres germinatifs des ganglions lymphatiques. « Immune imprinting, breadth of variant recognition, and germinal center response in human SARS-CoV-2 infection and vaccination ».

                                                                      • ⚠️ Suppression immunitaire innée par les vaccinations par ARNm du SRAS-CoV-2 publication du 15/04/2022 Les vaccins à ARNm favorisent la synthèse soutenue de la protéine de pointe (spike) du SRAS-CoV-2. • La protéine de pointe est neurotoxique et altère les mécanismes de réparation de l’ADN. • La suppression des réponses à l’interféron de type I entraîne une altération de l’immunité innée. • Les vaccins à ARNm entraînent potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer. • L’optimisation des codons donne un ARNm riche en G qui a des effets complexes imprévisibles. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S027869152200206X#!

                                                                      • ⚠️ 11 juin 2022 « un risque accru de myocardite ou de péricardite chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après une deuxième dose du vaccin » Moderna et Pfizer : The Lancet

                                                                      • ⚠️ « La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motiles chez les donneurs de sperme » temporairement, on espère…sûr ? et sur des bébés non encore entièrement formés, ça fera quoi pour leur avenir ? « motile : (Biologie) Qui a la capacité de se mouvoir activement et spontanément ou par réaction à des stimuli, en parlant d’un organisme vivant ou de l’un de ses organes. « ⚠️ https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/andr.13209

                                                                    Sur les traitements

                                                                        • Du jamais-vu, l’interdiction aux médecins de prescrire et de soigner, un discours unique du « restez chez vous avec du paracétamol » (alors que l’aspirine est plus efficace), des médecins qui prescrivent de l’azythromycine, de l’hydroxychloroquine, de l’Ivermectine, harcelés, diabolisés, menacés, harcelés, poursuivis. Une pensée unique bannissant tout débat, que l’on peut apparenter à du scientisme, un dogmatise faisant fi de l’art de la médecine et des connaissances ancestrales, basées sur l’observation, l’expérience, le dialogue, l’écoute, la prise en charge précoce.

                                                                        • 🟢 Aucun conseil pour renforcer l’immunité naturelle (inné, cellulaire, adaptative) avec de la vitamine D, du zinc, du sélénium (pour les plus de 50 ans), de la NAC (N-Acetyl-Cysteine) ou autres antioxydants favorisant la défense à la pénétration des virus dans les cellules.

                                                                        • étude « Efficacité et sécurité de la supplémentation en vitamine D pour prévenir le COVID-19 chez les travailleurs de la santé de première ligne. » ici

                                                                      Sur les effets secondaires, indésirables des injections

                                                                          • Un déni des autorités, une procédure peu connue pour déclarer les effets secondaires, des professionnels de santé qui ont injecté en masse peu enclin à faire des efforts pour reconnaitre une causalité entre les blessures et les injections, un problème d’acceptation psychologique. Site pour signaler un effet indésirable possible (ce n’est pas à vous d’établir le lien entre l’injection et l’effet indésirable) https://signalement.social-sante.gouv.fr/psig_ihm_utilisateurs/index.html#/accueil

                                                                            • Des remontées via des chercheurs indépendants qui réalisent des synthèses de données éparses, afin d’avoir une vision d’ensemble https://www.data-like.com qui est fragmentée sur les sites officiels.

                                                                            • VACCINATION MASSIVE ET MORTALITÉ des données, rien que des données https://www.covid-factuel.fr/2022/03/14/vaccination-massive-et-mortalite/ « Christian Vélot, maître de conférences en génétique moléculaire à l’université Paris-Sud et responsable d’une équipe de recherche à l’Institut de génétique et microbiologie d’Orsay, ne cesse depuis deux ans d’alerter sur les méfaits de la vaccination massive. Il explique, dans différents entretiens, la capacité des vaccins type ARNm à favoriser l’apparition de nouveaux variants, lorsqu’ils sont injectés massivement à toute une population.

                                                                          Suivi des effets indésirables déclarés

                                                                          📈 Le 30 avril 2022 – Extraction des données de la pharmacovigilance européenne ADR Reports (https://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html) de la semaine 17 (du 23 avril 2022 au 30 avril 2022). Depuis le début des injections en UE, pour les 5 substances (Astrazeneca, Janssen, Moderna, Novavax, Pfizer) :

                                                                          Nombre de décès 44 138 (+240)
                                                                          • Cas non résolus 1 121 662 (+14023)
                                                                          • Cas résolus 1 516 310 (+12321)
                                                                          • Cas résolus avec séquelles 63 588 (+1167)
                                                                          • Cas en cours de résolution 888 834 (+8318)
                                                                          • Cas état inconnu 886 907 (+12452)

                                                                          Nombre de décès
                                                                          • Astrazeneca 8 960
                                                                          • Janssen 2 779
                                                                          • Moderna 11 802
                                                                          • Novavax 0
                                                                          • Pfizer : 20 597

                                                                          Nombre de cas non résolus
                                                                          • Astrazeneca 319 267
                                                                          • Janssen 46 608
                                                                          • Moderna 217 407
                                                                          • Novavax 326
                                                                          • Pfizer 618 054

                                                                          Nombre de cas résolus avec handicap
                                                                          • Astrazeneca 19 985
                                                                          • Janssen 1183
                                                                          • Moderna 7814
                                                                          • Novavax 31
                                                                          • Pfizer 34 575

                                                                          C’est la 1ère fois dans l’histoire des médicaments que l’on continue des injections avec autant de remontées d’effets indésirables. Ces injections auraient dû être stoppées depuis plusieurs mois pour faire un point et prendre du recul. Nous avons l’impression d’une hystérie illogique et anormale pour la promotion de cette technologie expérimentale qui s’apparente à un dogme, du scientisme et ne pas se dédire et annuler les commandes de plusieurs milliards d’€ au profit de quelques uns… Il est à souligner qu’aucun vaccin contre les coronavirus sur des animaux n’a abouti car ces sont des virus qui mutent continuellement ; les essais ont conduit au décès des animaux car ils ont été contaminés par d’autres coronavirus.

                                                                          Des groupes sur les réseaux sociaux

                                                                              • où les personnes frappées par des effets secondaires viennent chercher du réconfort et font part de leur indignation. Groupes maintes fois censurés (pourquoi censurer des témoignages ?). Le groupe 6 effets indésirables a été censuré fin janvier, mise à jour vers le groupe 7 qui repart de zéro pour la 7ème fois.

                                                                            Des enquêtes internationales

                                                                            Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples

                                                                            Renforcer la conscience publique par le droit naturel. L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

                                                                            🎬 Jour 1 Déclaration d’ouverture https://rumble.com/vudxp6-jour-1-grand-jury-tribunal-dopinion-publique.html Reiner Fuellmich & Viviane Fischer https://rumble.com/vuuone-reiner-fuellmich-and-viviane-fischer-jour-1-grand-jury.html Ana Garner https://rumble.com/vuulgk-ana-garner-jour-1-grand-jury.html Rui Fonseca e Castro (juge) https://rumble.com/vuultv-rui-fonseca-e-castro-jour-1-grand-jury.html Dexter Ryneveldt https://rumble.com/vuuoen-dexter-ryneveldt-jour-1-grand-jury.html Dipali Ojha https://rumble.com/vuun8z-dipali-ojha-jour-1-grand-jury.html Reiner Fuellmich https://rumble.com/vuumi1-reiner-fuellmich-jour-1-grand-jury.html Deana Pollard Sacks https://rumble.com/vuum81-deana-pollard-sacks-jour-1-grand-jury.html

                                                                            🎬 Jour 4 🔴 Ariane Bilheran & Meredith Miller sur les aspects psychologiques de la crise / Grand Jury https://rumble.com/vygadf-ariane-bilheran-and-meredith-miller-sur-les-aspects-psychologiques-de-la-cr.html 🎬 Jour 4 à 47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteur en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne. Nous n’avons pas besoin de vaccination contre les coronavirus car nous avons une forte immunité naturelle croisée contre eux. Les études préalables des fabricants de ces produits géniques n’ont pas été réalisées dans les règles. https://rumble.com/vy66cd-jour-4-grand-jury-tribunal-de-lopinion-publique.html … à suivre sur Jeanne traduction, car il y a beaucoup de vidéos.

                                                                            Sur les masques chirurgicaux

                                                                            « Dans l’ensemble, nous n’avons trouvé que très peu d’études et nous n’avons identifié aucun nouvel essai pour cette dernière mise à jour. Nous avons analysé un total de 2106 participants provenant des trois études que nous avons trouvées. Les trois études ont montré que le port d’un masque pendant l’opération chirurgicale n’augmente pas ni ne réduit le nombre d’infections des plaies survenant suite à une opération chirurgicale. Nous avons conclu qu’il n’existe pas de preuves claires indiquant que le port de masques chirurgicaux jetables affecte la probabilité de développer des infections des plaies après les opérations chirurgicales. » https://www.cochrane.org/fr/CD002929/WOUNDS_les-masques-chirurgicaux-jetables-pour-prevenir-les-infections-des-plaies-chirurgicales-lors-des

                                                                            Des dépôts de plaintes en France

                                                                                • Plainte de l’association RéinfoLiberté, sur la mise en place du passe sanitaire qui repose sur une étude en prépublication déposée sur le site Hal de l’institut Pasteur. L’étude fausse ici, si on est gentil disons avec des erreurs, mais avec des conséquences importantes !

                                                                              Les droits fondamentaux

                                                                                  • Convention d’Oviedo, Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine. Cette Convention est le premier instrument juridique international contraignant en ce qui concerne la protection de la dignité, des droits et des libertés de l’être humain contre toute application abusive des progrès biologiques et médicaux. Ce traité part de l’idée que l’intérêt de l’être humain doit prévaloir sur l’intérêt de la science ou de la société : Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine.

                                                                                Passeport vaccinal et identité numérique

                                                                                Un projet prévu au niveau de l’Union européenne d’une EU vaccination card, en théorie pour faciliter les voyages mais au niveau de l’UE il n’y avait pas d’obligation vaccinale !

                                                                                2019-2022_roadmap_enTélécharger

                                                                                La page sur le site de l’Union européenne EU Digital COVID Certificate

                                                                                Portefeuille numérique

                                                                                Le portefeuille numérique de Thalès, ID wallet pour centraliser toutes les données des personnes. Il est opérationnel, ce type d’outil demande des années de travail, de la conception à la réalisation finale, pour la sécurisation des données, le stockage (construction de data-center).

                                                                                Annexe

                                                                                * Contrat UE/Pfizer (siège au Delaware connu comme avantageux au niveau fiscal…) qui non sans mal a fini par fuiter. Ce « contrat d’achat anticipé » a été signé le 20 novembre 2020 pour une durée de 24 mois. Il aurait été convenu que les seuls changements qui pourront y être apportés seront d’ordre pratique et n’altèreront pas matériellement le risque, le coût ou la responsabilité des parties.

                                                                                Contrat pfizerTélécharger

                                                                                    • Un problème juridique majeur : « La clause d’un contrat est dite « léonine » lorsque les charges en sont supportées par une seule des parties alors que l’autre en tire tous les avantages. »

                                                                                  Une clause léonine est une disposition prévue dans un contrat par laquelle :

                                                                                      • un avantage excessif et disproportionné est octroyé à l’une des parties ;

                                                                                      • une inégalité est générée entre les parties en raison de cet avantage excessif.

                                                                                    La clause léonine procure à l’un des contractants à la fois un avantage excessif et disproportionné mais fait également naître une situation d’iniquité importante entre les droits et obligations des parties au contrat.

                                                                                    Lorsque la clause léonine porte sur un élément essentiel du contrat dont la substance est remise en cause, c’est le contrat lui-même qui peut être atteint de nullité.

                                                                                    ⚠️ Pfizer’s Documents déclassifiés sur décision de justice ici (Public Health and Medical Professionals for Transparency).

                                                                                    Des vidéos

                                                                                    Sur les essais cliniques :

                                                                                    Pour ce 20ème numéro de « Science en Conscience » pour RéinfoCovid, Jérémie Mercier reçoit Gloriane Blais, avocate au Canada, et Christine Cotton, biostatisticienne et ancienne PDG d’une société de recherche sous contrat avec l’industrie pharmaceutique. Une analyse critique des essais cliniques des injections Pfizer laisse apparaître de multiples biais méthodologiques, rendant les conclusions de l’efficacité et de la tolérance non fiables et donc le rapport bénéfice/ risque annoncé plus que douteux. Aussi, d’où sont issus les arguments des discours des autorités politiques, médicales, des médias subventionnés, sur l’intérêt de ces injections ? https://www.facebook.com/CollectifReinfoCovid/videos/1130726041080442 Les sources des documents analysés ont bougé sur les sites ! c’est très souvent que cela arrive !!!

                                                                                    LETTRE TYPE À SON EMPLOYEUR QUI SE CROIT OBLIGÉ DE VOUS FAIRE INJECTER

                                                                                    « J’accuse réception de la lettre, circulaire note de service en date du ….. par laquelle vous m’ordonnez de me faire « vacciner ».

                                                                                    Je vous informe ou rappelle que tous les « vaccins » actuellement proposés à l’injection ne sont pas des vaccins mais des substances géniques classées juridiquement comme médicaments et de surcroît tous ces produits ne sont encore qu’au stade expérimental (phase 1 à 3 groupées) et ce jusque 2023. Ces substances géniques ne disposent donc que d’une autorisation temporaire de mise sur le marché (AMM conditionnelle).

                                                                                    Je vous rappelle également que sur le site Européen de pharmacovigilance « EUDRAVigilance », il est mentionné 19.791 décès au 24/07/2021 et environ plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé. Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).

                                                                                    Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que :

                                                                                    « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté.» – COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain».

                                                                                    A ce stade, je suis contraint (e) de constater qu’il y a un risque d’empoisonnement collectif. Ce n’est pas parce que ce scandale sanitaire n’est pas mentionné par les médias « grand public » qu’il n’existe pas.

                                                                                    Compte tenu notamment de la loi dite « KOUCHNER », du règlement (UE) 2021/953 du PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19 (considérants 36 et 62) ainsi que des conventions internationales ratifiées par la France, dont la Convention d’ OVIEDO en vigueur depuis le 1 avril 2012, ayant une valeur juridique supérieure à la loi, et à plus forte raison au décret et selon l’article 55 de la Constitution, nul ne peut être obligé de suivre un traitement expérimental.

                                                                                    Sachant que les laboratoires ont décliné toute responsabilité, qui assumera la responsabilité en cas de complication, d’accident, voire de décès post vaccinal ? L’Etat ? L’établissement ? Vous Monsieur Madame xxx?

                                                                                    En l’état actuel des informations, tant au sujet du produit que des garanties proposées, je refuse de donner mon consentement éclairé à une injection de l’un des produits anti COVID proposés à ce jour en France, à moins que vous n’ayez des informations nouvelles que je n’ai pas, qui vous amèneraient à me garantir personnellement :

                                                                                    1- Que je serai protégé(e) contre le Covid-19,

                                                                                    2- Que cette injection ne me rendra pas contagieux (se) vis à vis de mon entourage,

                                                                                    3- Que je ne risque pas d’effets indésirables graves,

                                                                                    4- (optionnel si crédit(s) en cours car clause d’exclusion en cas de participation à un essai clinique) Que mon/mes assurance(s) décès notamment pour mon logement.. prendra/prendront bien en charge le reste de mon/mes crédits à payer afin que mes survivants puissent continuer à vivre paisiblement.

                                                                                    Faute de m’apporter par écrit les garanties ci-dessus demandées, l’ordre que vous me donnez est illégal, en l’absence de mon consentement (Article 16-1 du Code civil « Chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable. »). De plus, dans le cas où vous ne pourriez m’apporter les garanties demandées, cet ordre serait contraire à toute logique, puisque c’est vous qui exigez cette injection, sans pouvoir me garantir que je n’en mourrai pas, ou que je ne serai pas gravement handicapé(e) ou dans l’incapacité de travailler à cause d’effets secondaires.

                                                                                    Persister à me contraindre à la « vaccination » (le terme « injection » est plus approprié) pourrait vous rendre personnellement passible notamment des dispositions des articles 121-1 et suivants du Code pénal, celles de l’article 221-5, prévoyant des peines criminelles lorsque l’on se rend complice d’un empoisonnement ou d’une tentative d’empoisonnement ainsi que celles de l’article 222-33-2 du même Code.

                                                                                    L’article 7 du Code de procédure pénale précise que « L’action publique des crimes se prescrit par vingt années révolues à compter du jour où l’infraction a été commise. […]». L’article 8 dispose « L’action publique des délits se prescrit par six années révolues à compter du jour où l’infraction a été commise. […]»

                                                                                    Veuillez agréer…………………………………

                                                                                    (Mise à jour régulières selon nouvelles publications sourcées). Des arguments, pour montrer que les refus d’injections géniques de produits en autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) sont basés sur une analyse et des faits. Refus également, par principe, de l’utilisation de n’importe quel passe discriminant en matière de santé (qr-code), domaine personnel et privé qui relève du secret médical et n’a pas à être soumis à un dictat d’un gouvernement par chantage, stigmatisation, et atteinte de l’intégrité physique. Nous nous inscrivons dans la mouvance légale, légitime et autorisée au niveau international que l’intérêt de l’être humain doit prévaloir sur l’intérêt de la science ou de la société.

                                                                                    1ère publication de cet article le 3 janvier 2021 mis à jour.